lundi 5 juillet 2010

Cheers, where everibody knows your name...

Cela fait un moment que j'aimerais vous présenter cette série télévisée américaine que j'ai découverte il y a quelques mois et que j'aime beaucoup : Cheers.

Cheers est une sitcom créée dans les années 1980 par Les Charles, Glen Charles et James Burrows et qui passait sur NBC. La série a remporté un très grand succès, puisqu'elle a perduré 11 ans et remporté un nombre considérable de prix.


Cheers fait référence à une expression anglaise courante utilisée pour porter un toast, mais c'est aussi, dans la série, le nom d'un bar situé à Boston, et tenu par Sam Malone (Ted Danson), un ancien joueur de base ball. Les amis, des habitués viennent pour y parler de la vie, de futilités, ou des aventures amoureuses de Sam, le patron... Un jour, Diane Chambers (Shelley Long), débarque dans ce lieu avec un professeur d'université plus âgé qu'elle : elle est son assistante, et il doit l'épouser, mais il aime encore son ex-femme... une série de malentendus fera que Diane se retrouvera plaquée et virée à la fin de l'épisode... bien que ne disposant d'aucune qualification, elle se retrouve engagée comme serveuse de bar par Sam.

Voici le générique de la série :



La série repose sur des personnages particulièrement hauts en couleur : Sam (Ted Malone), un ancien joueur de base-ball alcoolique qui a réussi à surmonter ses problèmes d'alcool ; Diane (Shelley Longer), une jeune femme très jolie et très cultivée, qui doit s'adapter à un milieu qui n'est pas le sien ; Carla Tortelli (Rhea Perlman), la serveuse italienne forte en gueule et affligée de gosses parfaitement insupportables ; Ernie Pantuso (Nicholas Colasanto), l'ancien coach de Sam, qui souffre parfois de confusion mentale ; Norm Petersen (George Wendt), le comptable qui trouve dans ce bar et dans la bière un refuge à un quotidien conjugal et professionnel pas toujours très épanouissant ; Cliff Clavin (John Ratzenberg), le facteur aux théories scientifiques qui valent leur pesant de cacahouètes...


Les répliques fusent, les situations sont drôles originales et bien trouvées, et la guerre des classes et des sexes n'est pas en reste, puisque l'un des principaux intérêts de la première saison réside dans l'attirance que Sam et Diane éprouvent l'un pour l'autre, alors que tout les oppose...


Bref, une série que je recommande chaudement !

A noter que c'est de Cheers que dérive Frasier, une autre série également drôlissime.

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